Prix chibro proscar
Proscar
Le mardi 13 juin 2018 à 18:30
À l'occasion du jeudi 15 juin 2018à 09:00
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Dr Frédéric GRIVAUD, onco-hématologue, CHU de Nîmes :
« « On se fait un peu de mouron sur la maladie de Charcot ou la sclérose en plaques : on voit la maladie comme étant un problème neurologique. Le problème est qu’on ne sait pas encore faire la différence entre une maladie neurologique et une maladie psychosomatique, on sait à peu près la reconnaître mais on ne sait pas dire si la cause est neurologique ou psychosomatique. On voit les neuropathies comme étant des maladies neurologiques et on peut parler de la maladie de Charcot comme de neuropathie vasculaire par exemple. » « La neuropathie vasculaire se caractérise par une atteinte du système nerveux qui peut provoquer des troubles sensitifs mais aussi des troubles moteurs.« Les neuropathies périphériques sont de différentes natures : neuropathie diabétique, neuropathie liée à une compression de certains nerfs ou à une atteinte de la circulation du liquide céphalorachidien.
« On a aussi des neuropathies en rapport avec les problèmes de circulation sanguine comme la maladie de Raynaud ou le diabète avec une atteinte de la circulation de l’artère carotide ou du plexus brachial.« La neuropathie diabétique, c’est le diabète qui provoque des lésions dans les petits vaisseaux du système nerveux et c’est ce qui donne une neuropathie diabétique. Les neuropathies liées à une compression de nerfs sont les neuropathies toxiques et les neuropathies liées à une atteinte de la circulation sanguine comme la neuropathie diabétique.« Pour le diabète, c’est souvent la cause de neuropathies sensitives ou périphériques mais on a aussi des cas de neuropathie toxique.« Pour le diabète, il y a des cas de neuropathie toxique car il y a une consommation d’alcool ou de médicaments qui peuvent être toxiques ou bien une infection ou une inflammation qui fait craquer le nerf qui peut entraîner une neuropathie toxique avec des douleurs ou des fourmillements.« Pour la neuropathie toxique, on a des cas de neuropathies douloureuses, neuropathies sensitives ou neuropathies sensitivo-motrices.« Chez les diabétiques, il y a des neuropathies toxiques par les médicaments ou par la consommation d’alcool.« Chez les diabétiques, on a aussi des cas de neuropathies douloureuses, neuropathies sensitives ou neuropathies sensitivo-motrices.« L’alcool peut provoquer des neuropathies douloureuses ou des neuropathies sensitives mais les neuropathies toxiques peuvent avoir un caractère toxique par un médicament ou par une infection.« On a aussi des cas de neuropathies toxiques liées à une intoxication médicamenteuse par exemple avec un neuroleptique ou une neuroleptique.« Dans tous les cas, il est important de savoir repérer les signes de toxicité de ce type de médicaments car il faut savoir réagir le plus vite possible car il y a des cas de mort subite chez des patients diabétiques qui prennent des neuroleptiques.« Le diabète fait craquer les nerfs, ce qui explique parfois la présence de symptômes de neuropathie douloureuse ou de neuropathie sensitivo-motrice. »
« Ces symptômes peuvent être confondus avec une maladie neurologique et on voit le malade qui ne dit rien et qui est dans un état de stress et qui a des troubles de la déglutition. On a parfois des malades qui ont été hospitalisés et qui ont des symptômes comme des troubles de la déglutition mais qui ne viennent pas aux soins.« Il faut absolument repérer ces signes et savoir réagir car il y a des cas de mort subite chez des patients diabétiques qui prennent des neuroleptiques.« Il faut savoir repérer ces signes et savoir réagir car il y a des cas de mort subite chez des patients diabétiques qui prennent des neuroleptiques.« Il ne faut pas confondre la neuropathie douloureuse avec les autres signes de toxicité des neuroleptiques.« Ce sont des cas très rares, on a des cas de neuropathie douloureuse ou de neuropathie toxique qui peuvent avoir un caractère toxique par un médicament ou par une infection.« Ces patients sont hospitalisés et on va les prendre en charge.« On va les réhydrater si ils ont des troubles de la déglutition. On va les nourrir par voie entérale pour qu’ils aient une nutrition adaptée à leur problème.« On va faire des examens complémentaires.« On va chercher si ils ont des troubles de la déglutition.« Il faut être vigilant parce qu’il y a beaucoup de faux signes de neuropathies toxiques et il faut savoir les repérer.
« Il y a des patients qui se disent qu’ils sont victimes de leurs neuropathies et qui sont en fait atteints d’une neuropathie toxique.« Il faut être vigilant car il y a beaucoup de faux signes de neuropathies toxiques et il faut savoir les repérer.« C’est assez rare mais c’est très important de savoir les repérer.
« Une personne qui a des troubles de la déglutition, c’est une personne qui va avoir une neuropathie neurogène. Une personne qui va avoir une neuropathie toxique c’est une personne qui va avoir une neuropathie toxique mais qui n’a pas de cause neurologique.« On est tous différents et on n’a pas les mêmes sensibilités à certaines substances.« Il y a des médicaments qui provoquent des troubles de la déglutition et il y a des médicaments qui provoquent des troubles neurologiques comme les neuroleptiques.« Les neuroleptiques sont des médicaments qui peuvent être à l’origine de troubles de la déglutition.« On va essayer de les détecter et si on voit que les patients ont des troubles de la déglutition, on va essayer de les prendre en charge.